"Lorsque le vent ne souffle pas,
l'arbre ne s'agite pas"
"Lorsque le vent ne souffle pas,
l'arbre ne s'agite pas"
Vous connaissez maintenant bien Xiao Long, ce Petit Dragon pondéré et pacifique qui sait faire preuve d’une graaaande compréhension. Il y a cependant des jours où Petit Dragon se rebiffe. Cela n’arrive pas très souvent, et lorsqu’il sort les griffes, c’est que l’on a vraiment abusé de sa patience…
Voilà que Xiao Long passe devant une affiche qui fait l’article pour une nouvelle « discipline » d’une section de gymnastique, le « Body and mind ». Et ce,’est pas la première fois qu’il lit de drôles de choses, comme par exemple « tai ji quan ou gymnastique chinoise »….
À croire parfois que le français ne suffit plus pour faire du marketing ! On utilise l’anglais pour emballer la marchandise. Donc, Xiao Long, intrigué, approche le nez pour mieux lire…
Le cours proposé donne son programme, je cite :
«Taï chi oxygénation (?) … Méditation, stretching, renforcement, relaxation, et (la cerise sur le gâteau !) réveil par la reprise du Taïchi ».
☁☁🙃
Xiao Long apprécie cette notion de réveil… On vous a bien endormi avant donc… BRRRRRRR les écailles de Xiao Long se soulèvent d’effroi, ses petits yeux se plissent et le voilà prêt à … s’enflammer (sans doute à cause de l’oxygène dégagé par le « Taï chi »…)
Xiao Long qui n’est habituellement pas mesquin, ne peut s’empêcher de remarquer,qu’il serait bon d’apprendre à l’écrire : Tai Ji Quan (rappelons que le pinyin est la transcription officielle du chinois depuis de nombreuses décennies !!! et qu’il serait temps que tout le monde s’y mette) et il enfonce le clou en précisant qu’il ne faut pas zapper le « Quan » (poing/boxe…), à moins que l’on sous-entende que l’on enseigne les principes philosophiques du Tao. Cette notion est essentielle dans la cosmogonie chinoise. L’idée évoque la suprême poutre faîtière de la structure de l'univers, la clef de voûte indifférenciée d'où apparaît le Yin Yang.
Xiao Long est très amusé de voir apparaitre ces dernières années des disciplines « tout en un » (comme les shampoings). On amalgame différents exercices extraits de disciplines à part entière, que ce soit le stretching, la méditation, ou le Tai Ji Quan… et on les propose sous l’appellation détente/ relaxation/ bien être… mais, bon… on ne va pas … chinoiser ! On va dire que c’est là que réside la nouveauté…
Mais là où Xiao Long va chercher des poux (et en trouver une quantité…), c’est qu’en utilisant ce concept de « melting pot » (en anglais ça fait toujours mieux !), on perd de vu les principes de base, les fondements même du tai ji quan.
Il y a des moments dans la vie où il faut prendre une décision : par exemple : fromage ou dessert, boire ou conduire ou bien … faire de la gym ou -pratiquer du tai ji quan !!!
Il faut arrêter de créer de toutes pièces des disciplines nouvelles qui ne sont qu’un mixage de disciplines existantes, juste pour faire dans le coup et pour capter le chaland. Et en prime baptiser le tout d’un beau nom anglais histoire de faire « in » et encore plus opaque (fog ? smog ?)….
Xiao Long a l’esprit ouvert et s’intéresse à beaucoup de choses, mais il y a un moment où il faut arrêter !!!
La gym, c’est de la gym. Le tai ji quan, ce n’est pas de la gym.
Il s’agit d’un art martial interne, il faut peut-être le redire, pour ceux qui l’ignore encore ou qui l’ont oublié. Ce n’est pas seulement une activité physique.
C’est un art de penser, de bouger, de vivre. Son lien à la culture et à la civilisation chinoise est fort et va plus loin que la dégustation d’un plat de nouilles chinoises au resto du coin !
Le tai ji quan est un monde en soi, qui a ses styles, ses écoles, ses maitres, ses enseignants –formés- à cette discipline.
Il est vrai que les formations de nos jours se font par pôles et que celui qui a son diplôme « gym sport loisirs » peut enseigner le step, le stretching, un peu tout et le tai ji quan ou le qi gong. C’est sans doute là qu’il y a un problème. Actuellement il est conseillé d’être polyvalent pour avoir de meilleures chances d’être embauché dans une association… C’est la dure loi de l’Ouest (far west évidemment !)🤠
Il ne viendrait pas à l’esprit pourtant d’inclure dans ces diplômes l’enseignement du judo ou du VTT ! Alors pourquoi le tai ji quan ? À cause de cette image « gym de santé »sans doute… qui fait totalement abstraction des dimensions martiales, internes et énergétiques qui font du tai ji quan ce qu’il est.
Bref, Xiao Long en a assez d’entendre que le tai ji quan, c’est de la gym douce que tout le monde peut faire, et pense qu’il faut cesser d’abuser ainsi les pratiquants -ou devrais-je dire le consommateur ?
Cette déviation du concept est là pour faire venir un public toujours friand de nouveautés en surfant sur la vague de la mode zen ! Et cela en devient ridicule et ternit l’image du tai ji quan.
Xiao Long a rencontré lors d’un forum des associations, une personne qui lui a dit que le « tai chi, c’est trop statique, on est allongé les trois quart du temps… » et qui a écarquillé les yeux en apprenant qu’il existait des enchainements, du travail à deux, etc… Une autre lui demande si il faut apporter un zafu et encore une autre si les tapis sont prêtés… et j’en passe d’autres tout aussi surprenantes !
Moralité (car il y en a une) :
Pour choisir un cours de tai ji quan, il faut prendre le temps de s’informer sur le contenu des cours, sur l’enseignant et sa formation dans ce domaine particulier. Je rappelle qu’il y a des grades dans cette discipline, qu’il y a des diplômes dans cette discipline…
Il faut poser des questions, et si on vous dit que c’est un cours /ou dans un cours de « gym », alors…, il serait plus que légitime d’avoir des doutes sur ce « Taï chi » sauce zen de raccroc…
"Celui dont la pensée ne va pas loin
Verra les ennuis de près"
Pour ceux qui débutent, apprendre peut paraitre difficile. Nous avons tout à coup trop de mains et de pieds à gérer ! Ce que nous faisons en automatique, comme marcher ou prendre un livre sur une étagère nous semble tellement naturel que nous n’imaginons pas le travail d’apprentissage que nous avons dû faire pour y arriver…
Les apprentissages laissent dans notre cerveau une trace physique, et cette dynamique s’appelle la plasticité cérébrale. La découverte de ce mécanisme par les neuroscientifiques a permis de comprendre une chose essentielle : rien n’est figé dans notre cerveau ! Il évolue sans cesse, il le peut dans tous les cas, même si nous n’utilisons pas toujours les possibilités qui nous sont offertes.
La plasticité cérébrale permet donc de « remodeler » le cerveau en permanence selon nos apprentissages. Ce remodelage est non seulement relativement rapide mais – malheureusement- réversible. En effet, une équipe de chercheurs a trouvé que certaines régions du cerveau chez de jeunes adultes présentaient des modifications structurelles importantes après trois mois d’apprentissage à la jonglerie, par rapport à des personnes n’ayant pas suivi cet apprentissage .Ces modifications disparaissaient quelques semaines après l’arrêt de cette activité. Voilà pourquoi les artistes et… les pratiquants doivent s’entrainer régulièrement... je dirais même tous les jours, au lever du soleil… (Je vous rassure, en Normandie à la mi-saison et en hiver… on peut faire grass’mat’ !!)
Nous sommes en quelque sorte « programmés » pour apprendre. Alors, profitons en ! L’organisation de notre cerveau peut s’adapter et se reconfigurer à tout moment, en fonction des expériences que nous vivons. Certaines périodes de la vie sont plus propices à certains apprentissages. Cependant tout reste possible à tout âge : Apprendre à parler une langue étrangère, à jouer d’un instrument, ou se lancer dans la peinture prendra plus ou moins de temps, mais cela se fera et plus nous varions nos activités, plus des « connexions » se mettent en place. Une raison de plus de rester actif… même si un bon moment au coin du feu avec un bon bouquin et une bonne tasse de thé n’est pas à négliger. Les périodes de repos ne sont pas inutiles non plus…
L’accumulation des expériences au cours de la vie augmente la quantité de connaissances stockées dans le cerveau. Cette accumulation d’expériences et la complexité des connaissances qui y sont associées sont plus importantes chez les personnes âgées. En vieillissant, nous pouvons tirer profit de notre raisonnement plus affûté pour apprendre de nouvelles informations … en prenant notre temps…
Mais, la plasticité du cerveau « s’entretient » (comme une voiture vidange, graissage, changements des filtres…) en restant curieux, en continuant à apprendre, en diminuant les facteurs de stress, en ayant des relations sociales…
…Hmmmmm, voyons voir… mais, c’est bien là la démarche du Tai Ji Quan et du Qi Gong si je ne m’abuse…
Donc, pas d’impatience, le surplus de mains et de pieds va disparaitre, et chaque technique apprise et mémorisée va nourrir votre cerveau qui va « s’assouplir » en même temps que vous… et l’apprentissage deviendra de plus en plus facile ! Tellement facile, que lorsqu’on a commencé, on ne veut plus s’arrêter… si, si, c’est vrai !!!
Sur le sable du rivage
À chaque trace de pas
Le printemps s’allonge
Masaoka Shiki
Xiao Long reçoit souvent des questions de se lecteurs – et les en remercie !
Voilà une question intéressante qui a été posée par une pratiquante qui s’étonne de l’absence d’enchainements épée/fourreau en vidéo. C’est effectivement très rare et Xiao Long n’a eu qu’une seule fois l’occasion de voir un tel enchainement lors d’une rencontre Europa taichi à Paris,il y a quelques années.
Petit Dragon n’a pas réponse à tout et ne peut qu’essayer de répondre à cette question qui fait réfléchir … La grande majorité des enchainements pratiqués dans les différents styles et écoles n’utilisent pas le fourreau et, même si, dans certains films wuxia, on peut voir quelques combats où le fourreau est utilisé, cela reste anecdotique.
On peut imaginer utiliser le fourreau afin de bloquer une attaque, pour se protéger, faciliter une avancée sur l’adversaire. Son utilisation peut être légitimée. Mais la rareté de ces formes semble indiquer cependant que cela ne se faisait guère en réalité, même si on peut y trouver une certaine esthétique. L’épée occidentale, même si les techniques sont un peu différentes dans leur exécution, ne l’utilise pas non plus à ma connaissance.
Dans la majorité des formes (que connait Petit Dragon - et donc ce ne saurait être exhaustif !), l’enchainement commence avec l’épée dans la main gauche, on effectue ensuite un changement de main pour la saisir de la main droite- ce qui suppose donc que la main droite est libre au début. Dans un enchainement épée/fourreau, forcément les deux mains sont prises et le fourreau peut être gênant pour certaines techniques ou sans utilité réelle, dans l'enchainement que j'avais vu d'ailleurs, le pratiquant déposait son fourreau à un moment donné.
Dans un enchainement « classique » (épée / sans fourreau), la main libre prend la forme d’une épée « virtuelle », ce qui nous amène à la deuxième question posée : « le fourreau fait partie intégrante de l’arme pourquoi le remplacer par l’épée magique ? ».
Le fourreau est-il partie intégrante de l’arme ? ou n’est ce qu’une protection de l’arme? Pour Xiao Long, c’est un étui qui préserve l’arme, mais qui en est distinct, il n’est pas « intégré » à l’arme dans la mesure où l'épée n'a pas besoin de fourreau pour fonctionner. On peut effectivement s’en passer pour « combattre ».
Utiliser épée/fourreau ne génère peut-être pas non plus le même équilibre, même si on peut imaginer cependant un yin yang : épée yang / fourreau yin, d’un côté l’attaque visible de l’autre la protection ? Mais l’épée est elle-même yin yang : elle pique, mais elle bloque aussi – elle attaque et elle protège tour à tour … Le fourreau sans doute est aussi en soi yin yang, il protège mais ne peut-il pas aussi attaquer, créer une percée ? Je ne connais ni ne pratique une telle forme, je ne peux donc que proposer une approche.
La main en mudra « épée » est censée apporter un équilibre parfait : une épée dans chaque main, une symbolique, une réelle et Xiao Long aime bien cette idée du visible et de l'invisible...
Après… chacun fait comme il le sent- dans le respect des principes Tai ji jian, il faut rester cohérent et cela vaut pour toutes les formes, avec ou sans armes. Peut s'ajouter à cela la dimension esthétique: veut-on simuler un combat ou plutôt renouer avec une danse de l'épée... Tout repose sur la compréhension de la pratique et la perception que l’on a en pratiquant
"Ne vous inquiétez pas d'avancer lentement.
Inquiétez vous seulement si vous êtes arrêté.
Après le "Shi Zi Shou", le "Shou Shi", 收势.
Mais ce « Shou » là ne signifie pas « mains » comme le Shou de Shi Zi Shou ! Il veut dire « rassembler, terminer, récolter ». Et le « Shi » ne signifie pas « dix » ici, c’est un caractère différent qui veut dire « situation, configuration » entre autres… Bref, nous l’appelons « fermeture ».
On écarte lentement les mains qui étaient croisées paumes vers nous en dirigeant les paumes vers le sol, les mains glissent l’une sur l’autre, s’écartent, puis on baisse les mains et ...
En bas:
On "remonte" en position de départ. Xiao Long aime bien cette « formule », les mains se baissent, le corps remonte… Il y a du Yin/Yang dans l’air et ces deux mouvements opposés et complémentaires lui semblent appropriés. Cependant certains préfèrent remonter sur leurs jambes au moment de croiser les mains en dix… Et d’autres encore n’ont pas à remonter… car ils ne descendent pas… Chacun le fera comme il le sent ! (Mais euh, bon, le Yin/Yang… monter quand les mains se baissent…. Xiao Long aime BIEN).
Enfin, le pied gauche se rapproche du pied droit.
En haut:
Une fois les mains baissée, « posées » sur le devant des jambes, on les laisse glisser sur les côtés pour retrouver la position de départ. On rapproche les pieds et.... On a terminé!
Attention à :
Ne rien précipiter : Souvent, inconsciemment, on « ferme » un peu trop vite. On ne prend pas le temps, de laisser les mains passer du devant vers les côtés. Les mains descendent en direct sur les côtés.
De la même façon, on a tendance à ramener le pied trop rapidement, en oubliant de le « dérouler » tranquillement : C’est le syndrome du cheval qui sent l’écurie et la bonne avoine qui l’y attend !
Donc, la concentration devrait (doit!) être maintenue jusqu’au bout, sans faiblesse et le rythme reste constant jusqu’à la fin, sans accélération : on y est bien dans ce 24, personne n’est pressé d’en sortir (ou bien si ?).
Il est important de rester attentif et présent à la forme jusqu'au bout, ce n'est pas évident, mais cela s'acquiert avec le temps.
On rêve d’une accalmie dans la tempête
et on craint la tempête dans l’accalmie.
Rêve et crainte sont illusions.
La tempête est tempête, et l’accalmie accalmie. »
如 封 似 闭
Cette technique est souvent utilisée après « Ban Lan Chui » : que signifie Ru Feng Si Bi ? Allez, on joue un peu… Ru se traduit par « Comme si, être comparable à ». Feng est « fermer, sceller ». Si veut dire « semblable » et Bi « clore, fermer ». Donc, au total, on peut traduire par : « Comme pour sceller, comme pour fermer », mais plus simplement, on choisit : « Fermeture apparente ».
Reprenons : dévier, parer, coup de poing… on a fini, nous voilà poing droit en avant, main gauche en renfort près du poignet droit.
La main gauche passe sous le poing droit qui s'ouvre, les deux mains ouvertes se "posent" à plat et se placent comme pour tirer les deux bras de l'adversaire vers soi.
Coudes et épaules restent bas et souples. On ramène vers soi les deux mains ouvertes au niveau de la poitrine, soulevant la pointe du pied avant afin d'avoir une bonne amplitude de retrait, le poids du corps est transféré sur la jambe arrière; le corps reste droit (comme d’habitude !), tête tenue par le petit fil céleste, accroché à Bai Hui.
Puis les deux mains descendent doucement jusqu'au Dan Tian, les paumes ouvertes se dirigent vers l'avant pour repousser.
On peut utiliser cette technique pour se dégager d'une saisie au poignet par exemple, la main libre, passant par dessous l'autre, la dégageant, puis une main posée sur le poignet, l'autre sur le coude de l'adversaire, on peut le déraciner l'amenant vers soi sur un côté, ou le repoussant vers l'arrière ...
Attention à :
Ne pas trop avancer le corps sur la poussée, le genou risquerait de dépasser le pied un peu trop et ne serait pas franchement content d’avoir à travailler en heures sup !
On évite aussi le « yoyo », du style, j’amène vers moi haut sur mes appuis et je repousse en plongée pour faire plus « costaud ».
SHI ZHI SHOU !!!
C’est presque la fin, et on croise les mains (et pas les bras, il y a encore quelques mouvements à exécuter tout de même !) 十字手 signifie les mains (Shou) en forme de 10 (Shi).
Que se passe-t-il "en bas"?
Le pied gauche se ferme: on veut retrouver notre position initiale, pointe de pied vers le « miroir » qui nous fait face (et tant pis pour ceux qui ne disposent pas d’une glace dans leur salle…)!
Le pied droit s'ouvre (normal! Un brin de Yin/Yang… puisque le gauche se ferme...) et le poids du corps passe à droite. Afin de faire passer "naturellement" le poids du corps de l'autre côté c’est-à-dire le gauche (il faut suivre un peu !). Le pied droit se ferme à son tour: on prend appui sur l'intérieur du pied droit pour le replacer près du pied gauche. Cette manœuvre permet de gagner en stabilité et en confort pour ramener le pied droit sans donner un grand coup de lombaires : ménagez-les, elles vous le rendront bien… Et la fluidité du mouvement n’en sera que meilleure.
Enfin les pieds sont parallèles...
Que se passe-t-il "en haut"?
Dans la phase "fermer le pied gauche et ouvrir le pied droit" la main gauche ne bouge pas vraiment, elle peut s’imaginer en blocage latéral pour lui donner un peu de sens ; la main droite, elle, suit la trajectoire globale du corps et va vers la droite, à l'horizontale: on se retrouve bras écartés. Et les mains (qui généralement suivent les pieds...! Quoi que…) se rapprochent lorsque les pieds se rapprochent en un mouvement du "jardinier qui ramasse les feuilles d'automne".
Les mains se croisent "en dix". Shi: + (enfin un caractère facile à retenir!!!) signifie 10. Durant ce passage, on évitera de chercher la petite bête dans les feuilles sèches, le dos restera vertical et nos jambes ne nous descendront que modestement pour nous éviter de piquer du nez vers le sol... On reste digne !
Attention à :
Ce blog est a but non commercial, non lucratif. Il délivre des informations et des commentaires techniques et culturels pour les pratiquants de Tai Ji Quan et de Qi Gong ainsi que pour tous ceux qui s’intéressent à la culture asiatique.
Si vous voulez pratiquer le Tai Ji Quan ou le Qi Gong, allez sur le site de l'association Feng yu Long où vous trouverez toutes les informations nécessaires.
https://www.taijiqigongevreux.com/
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