Il est tout à la fois Yin et Yang: il sait être toute souplesse, toute fluidité: un (méga) gros gentil chat, mais il peut soudain bondir, saisir sa proie avec ses griffes et l'emporter!
Chasseur de démons, roi des animaux à fourrure, il porte parfois sur le front le caractère "Wang" - qui signifie "roi" (et oui, nous avons un lion, Roi des animaux... noq amis Chinois un tigre).
Lors de la fête du double 5 (5ème jour du 5ème mois lunaire), on traçait ce caractère- symbole du Tigre-sur le front des enfants pour les protéger des démons.De nombreux bonnets ou pantoufles d'enfant portent des oreilles de Tigre, des têtes de Tigres... pour affoler les mauvais esprits!
PHOTO XIAO LONG
Le Tigre symbolise la force, la puissance, le courage, et comment prouver au mieux sa valeur, si ce n'est en se mesurant à lui, en l'affrontant.
Sans doute est-ce pour cette raison que le Tigre est aussi présent dans notre pratique. Si les enchainements de 8 et de 16 mouvements préfèrent laisser le tigre en paix, et il doit bien en profiter, car tout se gâte pour lui par la suite...
Dans la forme 24, ou forme de Beijing, le tigre n'a qu'à bien se tenir et a interêt à avoir la peau dure: . Il est à noter cependant qu'en chinois le terme "Tigre" n'apparait pas dans le nom de cette technique. En fait on parle du vent! Le "Double vent traverse les oreilles" et... celà fait bien mal aussi!
La forme 48 propose de l'attraper, à droite, puis à gauche (pai jiao fu hu), de le frapper aux oreilles (et re!), puis de le chevaucher (du li kua hu)( sur un pied en plus!) avant de tirer à l'arc sur le Tigre (wan gong she hu)! La pauvre bête... de quoi finir en descente de lit...
Il ne reste plus, dans la forme longue (88), et ce par deux fois, qu'à "porter le Tigre dans la montagne" (bao hu gui shan) où - nous l'espérons - il pourra goûter à un repos bien mérité...
Et faire le "Tigre" des 5 animaux pour se remettre de ses émotions!
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On pourrait se dire (à tort…) que l’on n’a pas besoin d’échauffement avant de pratiquer : à la vitesse où l’on va, comment se froisser un muscle !
Alors, voilà une explication au temps d’échauffement de début de séance : l’adénosine tri phosphate... Ben, voyons, mais c’est bien sûr !
Cette molécule plus connue sous le nom d’ATP (en effet, cela change tout !) est la source d’énergie du muscle et elle ne se stocke pas. En quelques secondes, hop, le muscle épuise sa réserve. Pour en produire, le muscle respire ou … fermente (façon choucroute ?).
Si l’on s’échauffe, le travail musculaire est graduel et le muscle « respire ». Si le muscle est froid et qu’on lui demande un gros effort, la respiration seule ne pourra lui fournir assez d’énergie et il va fermenter. Il produit alors de un peu d’ATP et beaucoup d’acide lactique : de là la fatigue musculaire, les bobos et les courbatures. Respirer est donc fondamental et la mise en mouvement progressive aussi !!!
NB : En Tai Ji Quan, nous développons des muscles « lents » : on ne deviendra dons jamais M. Muscle (ou Mme !). Les muscles sont fins.
Néanmoins nous faisons fonctionner tous nos muscles et pratiquons une sorte de « sport » complet souple contrairement à ce que certains pourraient penser en nous voyant faire : nous travaillons notre « physique »… et pas que !
L'éventail, voilà une arme de choix... car c'est bien une arme, nous n'y reviendrons pas...
Qui serait mieux placée que maitre Faye Li Yip pour enseigner le Xi Yang Mei (« joli coucher de soleil ») -Kung Fu Shan 2 ? Personne ! Puisque c’est son père qui a créé cette forme ainsi d’ailleurs que le (Kung Fu Shan 1)…
Faye Li Yip : Mieux la connaitre
a appris dès l’âge de sept ans avec son père, Li Deyin et un de ses collègues à l’Université : Jiang Hong Sheng. A 10 ans, elle étudie dans l’équipe de Wushu que son père coachait. Chaque dimanche, elle rendait visite à son grand-oncle Li Tian Ji qui lui enseigna le Ba Gua. Son grand-père Li Tian Chi aussi la conseille, lui qui travaillait à l’hôpital universitaire de Harbin et utilisait le Tai Ji Quan et le Qi Gong dans un but thérapeutique.
Faye a aussi pu recevoir l’enseignement de Maitre Sun Jian Yun, fille du créateur du style Sun, Sun Lu Tang.
Faye Li Yip grandit dans cette famille imprégnée de tradition martiale, écoutant les récits des anciens remplis de combats héroïques, d’artistes martiaux aux pouvoirs étonnants, de moines Shaolin luttant contre l’envahisseur japonais... C’est donc naturellement qu’elle s’est tournée vers une carrière sportive de compétitrice puis d’enseignante « martiale ».
Mais alors, une question : pourquoi est-elle installée en Grande-Bretagne ?
C’est en étudiant la psychologie à l’Université de Beijing, lorsqu’elle découvre nombre de livres anglais traduits en chinois qu’elle se lance dans l’apprentissage de l’anglais pour pouvoir lire directement dans le texte. Elle ira étudier à Liverpool. C’est là qu’elle comprend combien il est important lorsqu’on enseigne le Tai Ji Quan à des étrangers de donner les caractères chinois et leurs définitions pour une meilleure approche.
Faye s’installe donc en Grande-Bretagne avec son mari Tary Yip (issu lui aussi d’une famille réputée dans les arts martiaux) et fonde une école afin de perpétuer la tradition familiale.
Le « Deyin Taijiquan Institute » propose différents styles d’arts martiaux internes et aussi différentes formes de Qi Gong santé.
Elle nous a fait le plaisir et l’honneur de venir en France à plusieurs reprises,pour nous enseigner cette forme ... espérons qu’une nouvelle occasion se présentera de participer à un de ses séminaires : apprendre avec elle est un vrai bonheur et Xiao Long a beaucoup apprécié.
Simple, accessible, précise, technique… patiente (!) et toujours souriante, Xiao Long attend son retour avec impatience !
En savoir plus et trouver des vidéos :
http://www.deyin-taiji.com/
Le 28 janvier exactement, les Chinois partout dans le monde vont passer à l’année du Coq… et même du coq de Feu pour être précis... ça va chauffer!
Cette fête du nouvel an extrêmement populaire dans toute l’Asie et on la prépare déjà depuis plusieurs semaines. L'histoire ne dit pas si le plat de prédilection sera un coq au vin ou une poule au pot. Je plaisante... bien sûr!
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En cohérence avec le calendrier lunaire chinois, l’année du Coq sera composée de 13 mois lunaires. Elle ne prendra fin que le 16 février 2018.
La combinaison du Coq et de l’élément Feu n’arrive que tous les 60 ans. Il ne semble pas y avoir de super année en vue…Cette année prudence et patience seront de rigueur!
Même si le coq n’est pas apprécié des vacanciers qui séjournent dans nos campagnes et se font réveiller à l’aube par cette volaille, le Coq a ses qualités : courage, constance et persévérance. C’est un travailleur. Celui qui se lève en même temps que le Coq est souvent évoqué dans les noms donnés par Maitre Zhang Guan De dans ses enchainements, c’est une preuve de sa motivation et de son assiduité au travail (et toc ! pour ceux qui aiment les grasses mat’ !)
Le Coq est perfectionniste, attentif à sa tenue ( belle crête rouge !), franc et honnête.
La nouvelle année 2017 est liée à l’élément Feu sous sa forme Yin. Le Feu Yin exprime la chaleur intérieure, la clairvoyance, ainsi la douceur des liens familiaux. Les personnes nées sous l'influence de cet élément sont ambitieuses, portées vers l'action, la création, souvent excessives et parfois trop impatientes, tout feu tout flamme ( ??!).
Même si le jour de l’an au départ est une fête pour faire déguerpir les mauvais esprits et divers démons qui nous entourent, ce qui se traduisait par un grand « nettoyage » (de printemps ?) dans les maisons, c’est aujourd’hui surtout une fête familiale qui symbolise aussi le début du printemps !
La légende :
Autrefois en Chine vivait un gros méchant monstre, redouté de tous parce qu'il n'hésitait pas à semer chaos et terreur. Cette terrible bête, sorte de dragon à cornes, s’appelait Nian (année en chinois). Elle n'apparaissait qu'une fois, la veille de chaque nouvelle année. Pour avoir la vie sauve, les habitants fuyaient et abandonnaient leur village. Mais un jour, un vieil homme proposa un stratagème pour se débarrasser de « l’envahisseur »: effrayer Nian en faisant du bruit et du feu. La nuit tombée, il brûla des cannes de bambous, agita des foulards rouges et tapa sur des casseroles … le malheureux monstre sous le choc s’en alla et ne revint jamais !
On comprend donc mieux qu’aujourd’hui les pétards, tambours et danses, bandelettes rouges sont toujours de la fête.
Vous êtes assez proches de Paris ?
Suivez la danse du lion dans les rues de la capitale
Paris 13e. Le plus grand défilé, avec 200.000 spectateurs attendus, aura lieu le dimanche suivant 5 février dans le 13e arrondissement, il partira de l'avenue d'Ivry à 13h, avant de passer par la place d'Italie et le boulevard Masséna.
Paris 3e. Cette année, un défilé est organisé dans le 3e arrondissement rendez-vous dès samedi 28 janvier dans le Marais, avec un départ à 14h de la place de République...
Paris 20e. Le défilé qui a lieu d'habitude du côté de Belleville n'a pas été confirmé pour le moment..
Avec le phénix, c'est l'oiseau le plus présent dans les légendes et peintures chinoises.Elle pouvait vivre 600 ans dit-on et serait un homme métamorphosé en oiseau…Elle symbolise la longévité, l’élévation de l’esprit et la sagesse…
Dans la pratique du Tai Ji Quan elle déploie ses ailes ou bien elle les rafraichit. Toujours élégante, gracieuse, la grue est un oiseau symbolique… Mais pas que… elle existe bel et bien (encore) en plume et en pattes !!!
La réserve naturelle de Yancheng est une réserve de biosphère nationale et une zone humide de la province du Jiangsu en Chine. Elle est aussi le foyer de nombreuses grues à couronne rouge. Cette zone de plage s’étend sur 582 km2 et couvre au total une superficie de 280 000 hectares. Parmi tous les sites d'hivernage Yancheng est le plus important car il accueille plus de la moitié de la population mondiale de grues à couronne rouge.
La grue à couronne rouge est considérée par les Chinois comme un symbole de bonheur, de fidélité et de longévité. Lorsque, dans un couple de grues à couronne rouge, un des compagnons meurt, l'autre décide de rester célibataire jusqu'à la fin de sa vie.
Quand on parle des grues, on pense à Lin Pu, grand poète de la Dynastie des Song. Sans aucune attache ou famille, il se divertissait en entretenant le prunier de son jardin et en élevant une grue. On dit de lui que le prunier était sa femme et la grue son enfant.
Aujourd’hui, la grue à crête rouge a non seulement une valeur esthétique particulière, mais aussi une valeur scientifique extrêmement importante en matière de génétique. Des recherches sur la protection des grues ont été entreprises en Chine et dans d’autres pays du monde. La reproduction et l’apprivoisement de la grue à crête rouge sont les moyens les plus importants mis en œuvre pour protéger cette espèce.
L’histoire d’une éleveuse, Xu Xiujuan, appelée la « mère de la grue, est touchante –même si il y en a plusieurs »variantes ».
Cette jeune fille, née dans une ville du nord de la Chine, adorait les grues à tête rouge depuis son enfance. Elle aurait travaillé avec son père, premier chef du centre d’élevage des grues dans la Réserve naturelle de Zhalong. Invitée à Yancheng, elle devait développer la reproduction artificielle de la grue à crête rouge, ce qui alors était encore très difficile. Elle s’attela à cette tâche sans relâche. Elle avait emporté de Zhalong trois œufs de grue et en pris soin, l’énergie consacrée à cette veille et les liens noués avec les oiseaux explique que ses collègues lui donnèrent le surnom de« mère des grues ».
Les œufs ont éclos. Et 83 jours plus tard, les oiseaux pouvaient prendre leur envol ! Beaucoup d’experts chinois et étrangers furent surpris de ce succès.
Un jour, en voulant sauver une grue blessée, Xu Xiujuan a glissé dans un marais (ça arrive!). La grue a été sauvée sans que la jeune fille ait pu remonter à la surface. Une chanson a été composée en son honneur.
Me voici
Là où le bleu de la mer
Est sans limite.
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Le chemin du pratiquant de Tai Ji Quan est semé d’embûches… sinon, ce ne serait pas drôle !!
FORME :LA
On s’est tous demandé à un moment donné pourquoi ces mouvements qui paraissent si beaux et si simples sont si durs à reproduire…
Tout ça, c’est de la faute à notre cerveau !
Il ne voit pas le simple, il cherche à décortiquer le geste en petites séquences, en unités élémentaires : ceci est mamain droite, ceci est ma main gauche, ceci est…
. Pour « jouer le global », c’est-à-dire pour comprendre le geste comme un tout, il faudrait le répéter un certain nombre de fois (et certainement un nombre certain) pour que notre tête suive sans vouloir à toutes forces le décortiquer…
L’alternative, le plus souvent d’ailleurs, c’est cette solution qui est utilisée, et de morceler le geste, de l’expliquer dans un premier temps, puis d’y mettre de « l’huile ».
Ce mouvement est comme un énorme beefsteak (un gros potiron pour les végétariens !) : ou bien, on l’engloutit d’un coup comme un python affamé et on va mettre un certain temps pour le digérer… ou bien, on en fait des portions raisonnables et la digestion est moins difficile.
🙄
Notre cerveau ne peut enregistrer qu’un nombre limité d’informations et donc s’il se concentre sur les bras, il oublie les pieds, s’il pense à la taille, il oublie autre chose…. Il faut donc prendre le temps d’avancer : on ne peut pas capter tous les détails en une fois, c’est par petites touches que l’on s’approchera du geste juste. Et il faut aussi de temps à autre s’arrêter et observer précisément le « modèle »…
Une fois que l’on a compris l’essentiel, on se dit que le tour est joué et qu’on peut passer à l’action. Oui, mais… on a la curieuse sensation de ressembler à D2R2, charmant petit robot aux loupiotes qui s’allument…
🙃 C’est encore M. Cerveau qui fait des siennes… il repasse les instructions et les applique, du coup… on manque un brin de naturel… et c’est normal, car on ne connait pas encore « par cœur » le mouvement, on l’exécute volontairement et les infos arrivent les unes après les autres… Cela me demande beaucoup de concentration pour un résultat finalement assez approximatif. On reste dans le réfléchi et non dans la sensation, mais cela correspond bien aux cartésiens que nous sommes !
Certains sont au contraire de fervents adeptes du « je répète le geste dans sa globalité jusqu’à l’avoir assimilé ». Il faudra être patient et répéter longtemps en se laissant (trans)porter par le rythme, la logique naturelle du mouvement.
Chacun va trouver sa propre recette, et les 2 techniques sont bien complémentaires…
Une fois répertorié et acquis, le mouvement représente pour le cerveau une séquence, un programme qu’il lance au moment où vous le voulez…
Il suffit d’être… patient !😡
TRAVAIL A DEUX :
Continuons avec nos questions gênantes… Pourquoi est-ce si difficile lorsqu’on connait un mouvement de la forme de passer à son application martiale ?
C’est que d’autres facteurs sont à prendre en compte : on n’est pas tout seul ! On calcule la trajectoire du poing, on doit ajuster la distance, adapter le geste… et tous ces paramètres font partie d’un autre programme.
En réalité, il s’agit alors de « réapprendre » ce geste à deux, puisque les repères que l’on a dans la forme ne sont pas tous pertinents, et que d’autres s‘y ajoutent…
Ce qui toutefois est très positif (car je sens bien qu’il y a du mou dans les troupes et qu’on ne voit plus très bien en quoi cette discipline peut nous détendre….) c’est qu’au fil du temps, des connexions se créent et de plus en plus vite. Là aussi, on réagit de plus en plus globalement et on a de moins en moins besoin de tout décomposer.
Mais si!!!
🧘♂️ Un peu d’entrainement … et votre cerveau sera « top-forme », et … vous ne vous poserez plus du tout de questions ?
Euh, vous vous en poserez moins…
Art-thérapie par le coloriage… C’est dans l’air du temps !
Les publicités diverses annonce des moments de grande « zénitude » grâce aux cahiers de coloriages. Il faut le faire, tout de même : lorsqu’on est enfant, on gribouille gentiment en tirant la langue pour être plus concentré et on se fait taper sur les doigts « faut pas déborder », « faut pas appuyer si fort », « faut pas prendre plusieurs crayons à la fois »… et j’en passe… Bref, colorier est un vrai stress ! Eh bien, une fois adulte, on en redemande !!!!
Oui, mais pour le bon motif -si on peut dire- : pour se détendre ( ??!)
La recherche d’une harmonie globale de couleurs, le choix des couleurs qui correspondent à votre état émotionnel du moment, la concentration que cela exige… le côté ludique, créatif, la liberté d’expression… autant de facteurs qui libèreront l’esprit du reste…. Le coloriage devient un outil de développement personnel.
Mais il y a plus « professionnel :
Adrian Hill, un l'artiste britannique, découvre en se soignant d'une tuberculose, que dessiner améliore son état et souhaite partager cette expérience en écrivant un livre sur le sujet. Il crée ainsi « l’Art-thérapie". L’ouvrage parait en 1947 en France.
Dans les années trente, Margaret Naumburg et Edith Kramer, fraîchement débarquées aux États-Unis, jettent les bases de l'art-thérapie en Amérique. Une éducatrice et une artiste donneront deux directions différentes pour l'art-thérapie, l'art comme thérapie et l'art comme outil au service d'une psychothérapie.
L'art-thérapie s'applique dans le domaine du soin (psychique et somatique), mais est aussi présente à l'école ou à l'université (pour lever des blocages, faciliter les apprentissages, apaiser des conflits...).
La pratique :
Petit Dragon a reçu en cadeau un beau livre de coloriage et a décidé de se détendre en se mettant à l’ouvrage.
Cela n’a que moyennement fonctionné, il faut dire qu’il est déjà trèèèèès relax le Petit Dragon, alors devenir encore plus relax, c’est difficile…..
Xiao Long se demande d’abord, si les concepteurs de ces dessins hyper alambiqués ont essayé de les colorier…. J’ai un doute là-dessus…
D’accord, on vous préconise de ne pas vous acharner à colorier les petites surfaces de couleurs différentes… et on comprend pourquoi ! Certains endroits ne sont pas plus gros que des têtes d’épingles qui auraient fait un séjour chez les « réducteurs de têtes » !
Xiao Long vous déconseille le feutre usagé à grosse tête écrasée !!!! et préconise donc un matériel de « pointe » : crayons de couleurs et méga taille crayon… Et pour les Dragon de mon âge (pourtant pas « vieux dragons »), une super bonne paire de lunettes !!!
Petit problème aussi : le cahier ! Pour être à l’aise, on le tourne et le retourne dans tous les sens (mieux vaut de pas choisir un 200 pages !)… On pourrait détacher la feuille peut-être… mais pour le faire proprement il faudrait que le papier en question s’y prête et l’impression fait que l’on découpe en général aussi le dessin…
Si on est très fier de son beau dessin, on voudrait l’offrir, mais en général, les feuilles sont imprimées des deux côtés… Frustrant…
Bon, tout ça pour dire qu’il faut être déjà relax AVANT de s’attaquer au boulot….. Et que l’on peut estimer avoir réussi son coup si on est resté « zen » en coloriant et qu’on le reste APRES….
Je plaisante (à peine).
Mais Petit Dragon reprendra ses crayons un de ces jours pour poursuivre dans son joli cahier, c’est promis !
En attendant ... voilà le résultat de ses premiers essais :
Ce blog est a but non commercial, non lucratif. Il délivre des informations et des commentaires techniques et culturels pour les pratiquants de Tai Ji Quan et de Qi Gong ainsi que pour tous ceux qui s’intéressent à la culture asiatique.
Si vous voulez pratiquer le Tai Ji Quan ou le Qi Gong, allez sur le site de l'association Feng yu Long où vous trouverez toutes les informations nécessaires.
https://www.taijiqigongevreux.com/
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